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Part time Post-punk

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Lou Reed
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Lou Reed

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Part time Post-punk Vide
MessageSujet: Part time Post-punk   Part time Post-punk EmptyMar 10 Aoû - 17:07

Donc c'est quoi le post-punk ? A chaud, j'suis tenté de répondre que c'est avant tout un gros bordel pour les maniaques de la classification, étant donné qu'en parlant post-punk on peut causer aussi bien de post-punk (oui dit comme ça ça parait con) pure et simple, de no wave, cold wave, new wave, indus,electro, synth-pop,pop tout court, et même noisy après tout.
Comme chacun le sait l'oeuf n'a pas précédé la poule, et donc le post-punk n'est pas une création ex-nihilo. Mais là déjà le problème de la multiplicité du mouvement se pose, si plusieurs branches existent cela signifie sûrement que tout le monde ne crèche pas à la même église. Ça semble évident, néanmoins ça ne semble pas trop con de dire que tous ces mouvements trouvent des racines parallèles (mêmes très fines) dans :
-Le punk, bah oui post-punk, y a bien un lien de cause à effet, forcément. Alors, pourquoi ? L'éthique DIY sûrement, la démocratisation musicale (fanzine, label indé) en marche, musicalement ? Là c'est moins évident, peut-être pas si éloigné que ça de la spontanéité punk, on le ressent surtout dans les premières pierres post-punk (vous inquiétez pas, y aura des liens après) mais ça a tendance à se diluer de plus en plus.

-Le Krautrock/et musique expérimentales 70's (La Monte Young, Eno, tout ça) -> Le krautrock pour son motorik hallucinogène, et son économie dans les moyens (toute punk), et la musique expérimentale, tout simplement les pionniers minimalistes, ils ont touché pas mal de monde les salauds ahaha (certains mouvement drone notamment, mais c'est pas vraiment le sujet).

Après ça, c'est difficile de trouver d'autres racines liantes pour la scène globale. J'suppose que c'est à partir de ce point qu'il faut zoomer.

Le mouvement de base est, comme je le disais, celui où l'influence punk se fait sûrement la plus forte. Même si l'on note quelques changements, notamment une tendance à un retrait de la guitare (qui ne vient plus marteler continuellement l'auditeur, mais prend un rôle plus discret à base de répétitions de motifs courts) au profit de la section rythmique, qui est le vrai ciment unificateur du genre.
Et musicalement ça part d'où ? Autre gros problème de cette scène, on ne sait jamais qui commence quoi, quand, car le fourmillement artistique de l'époque est tel qu'il est très difficile d'en fouiller tous les recoins. Mais comme c'est mon topic et que j'emmerde l'objectivité historique, j'ai bien envie de dire que les gars de Gang Of Four sont pas loin de coiffer tout le monde. Avec Entertainment, et sa pochette ôh combien culte (qui là encore reprend un terme cher au punk, et plus généralement au punk hardcore, l'engagement idéologique/politique), le groupe pose une grosse mandale dans les oreilles, à base de riffs acérés et efficaces, sur fond d'une grosse basse bien agressive comme il faut. Ils ne sont d'ailleurs pas les seuls à reprendre les thèmes abrasifs de l'engagement punk, certains vont jusqu'à créer un concept : La DEVOLUTION. Kezaco ? C'est un thème qui était déjà traité en quelque sorte chez les teutons de Kraftwerk, c'est-à-dire l'avancée de la machine sur l'homme (humanité qui perdrait donc ses valeurs en même temps qu'elle avancerait technologiquement, ce qui explique le terme "de-evolution"). Et ce n'est pas qu'une simple idéologie, ça se perçoit aussi dans la musique, déjà chez Kraftwerk (bien que là l'on parle de krautrock), mais aussi chez les américains de DEVO, où des poses frigides accompagnées de tout un décorum (les lunettes de chimiste, les blouses jaunes), épaulent une musique qui semble robotisée, avec des guitares au son très spontané, presque inhumain, et avec bien sûr l'utilisation de claviers (une démonstration).Une idéologie qui se résume dans le titre du premier album de Devo, et sa question quasi existentielle Q: Are We Not Men ? A : We Are Devo. Aujourd'hui ça peut paraître un peu incompréhensible comme position, mais bon j'vous demande de faire l'effort de vous replacer dans un contexte 70's.
N'empêche c'est un sujet super intéressant, mais je vous avoue que je ne suis carrément pas assez documenté, j'vous transmet quand même ce petit passage made in wikipedia que je trouve fort drôle :
Citation :
"Devo étaient probablement aussi connus pour leur image que pour leur musique, mettant des uniformes qui plagiaient la culture industrielle et le consumérisme pop, tels les costumes de protection chimique jaunes durant la période Q: Are We Not Men?, l'assortiment de coiffes de plastique, de masques et des caractéristiques chapeaux "pots de fleurs" (domes d'énergie) pour Freedom of choice -- dont le but était (selon le groupe) de canaliser leur énergie sexuelle dans leur voix."
L'ambiguïté avec le punk perdure aussi par la présence d'anciennes têtes de gondoles du mouvement punk, dans ce nouveau genre, l'exemple le plus parlant étant sûrement le Public Image Limited de John Lydon (ex chanteur des Sex Pistols) qui pourtant avec ce projet clamait aussi sa volonté de se couper du mouvement punk original. Le groupe de Johnny aux dents pourries reste d'ailleurs assez à part même sur la scène post-punk, se balançant entre krautrock, dub ou minimalisme, une vraie fête expérimentale (le premier album commençait déjà à brouiller les pistes, mais le vrai changement s'opère avec l'ovni metal box ). L'expérimentale qui apparaît vraiment comme le fil rouge reliant ces différentes scènes.
En vrac on peut aussi placer ici, Siouxsie and the Banshees (Hong Kong Garden où le TUBE pop-post-punk par excellence), Wire (dont il faudra reparler au moment d'aborder les côtés plus expérimentaux), The Fall (même remarque que pour Wire), Pere Ubu, The Cure (celui de la période Three Imaginary Boys).


Tandis que Johnny fait le con en faisant perdre des millions à Virgin avec le pressage de sa Metal Box, du côté de Manchester y a 4 mecs qui se bougent le cul pour se détacher un peu plus des racines punk. Joy Division. Je peux en faire des pages à parler de Ian Curtis, ses textes, sa voix; la basse d'Hook, la batterie de Morris, et le jeu de guitare de Sumner, mais le topic est déjà long, et en plus on est même pas encore à la moitié. Joy Division, Manchester, une basse, une voix grave chargée d'émotion qui finira, comme on le sait, pendu dans la cuisine de son petit appartement de banlieue, ça entretient le culte tout ça. Et l'innovation elle est où ? Je pense qu'elle a un nom : Martin Hannett. Le producteur des deux albums du groupe (et d'autres groupes aussi), son idée, "faster but slower" le tout dans une ambiance inquiétante, aliénante et souvent malsaine (sur Closer on est jamais loin de l'auto destruction). Ce qu'on appellera plus tard la Cold wave (bon là je suis censé vous offrir un lien, voire deux pour que vous puissiez tâter convenablement de la beauté froide de Joy Division, mais je vous avoue que mettre si peu de Joy Div' ça me fend le coeur : donc 1, 2, 3, 4, 5, 6 ). Pour continuer sur un groupe, lui aussi, passé à la postérité, pourquoi ne pas s'arrêter quelques instants sur les Cure. La trilogie Seventeen Seconds/Faith/Pornography étant l'unique, mais très remarqué, passage cold du groupe de Robert Smith (aujourd'hui on l'appelle le gros, ça va plus vite). Passage de trois albums, qui vient un peu, nuancer l'extrémité du message de Joy Division , tout d'abord sur Seventeen Seconds où les ambiances se font plus tamisées, mélancolique plutôt que désespéré; dans une logique de crescendo les ambiances commencent à se faire plus pesantes sur Faith; et finalement le désespoir explose en violence sur le (culte) Pornography (vous accuserez youtube pour la qualité de la vidéo). Bon alors eux j'étais partis pour ne pas en parler, puis finalement je me suis dit que ça serait triste étant donné la force que dégage leur premier album, par la suite ils partiront dans une optique metal indus dont je me branle grave, donc.
Sinon en vrac ? les Frenchy attaquent : Trisomie 21, Frustration (des jeunots !), Marquis De Sade, Guerre Froide.
Edit : And Also The Trees, Dead Can Dance, The Opposition, Charles De Goal, Minimal Compact (chez qui l'on retrouve Colin Newman, de Wire, à la production).

En partant de ça, j'me demande souvent comment certains en sont arriver à nommer un groupe comme Bauhaus, de goth rock. Surtout en se basant sur le premier album, qui finalement sonne très cold wave, avec un petit côté glam aussi, qui est sûrement dû à l'amour que porte Peter Murphy à des gens comme David Bowie ou Marc Bolan. Alors, au départ le goth rock, ce n'était que ça. Bon je suis pas complètement taré, malgré la longueur déjà conséquente de ce post, je ne vais pas me perdre dans des distinctions electro goth, batcave, death rock, et autres joyeusetés.
On va faire simple, et rapide : Christian Death, Vrigin Prunes (qui se ramenaient sur scène avec une tête de porc sur un piquet, bien avant certains BMeux ...), The Birthday Party (Nick Cave... what else ? D'ailleurs, ça m'embête un peu de les mettre ici, y a des influence rockab' incontestables ... Mais bon ça nous empêchera pas de nous délecter du déhanchement sexuel du (regretté) Tracy Pew à la basse), Xmal Deutschland, The Sisters Of Mercy, Alien Sex Fiend, Clan Of Xymox ... etc.





En relisant ce premier pavé, la construction complètement caduque du texte m'emmerde un peu. Non mais faut être con pour balancer la sauce en oubliant de passer sur les influences directes. Pas les influences dont je parle aux débuts, mais les artistes qui font le lien entre tout ça. Et pour entamer cette partie, il va être très difficile d'éviter les dinosaures (aujourd'hui) ridés que sont David Bowie et Iggy Pop.

On a beaucoup parlé de la période Berlinoise, sorte de virée entre toxico à Berlin pour se désintoxiquer, mais les amis Iggy et David avaient oublié qu'à cette époque Berlin etait la capitale du crack, ce qui n'aide certainement pas. Moi je vous dis qu'il y a anguille sous roche. 'Fin toujours est-il que sous cette piètre excuse, les deux zigotos fraîchement arrivés, décident d'aller bosser pour faire quelques albums imprégnés de l'ambiance européenne (et sûrement plus particulièrement de l'ambiance de séparation qui règne alors à Berlin). Je vous fais pas un dessin sur les fixations habituels, et autres fascinations (souvent contestables) d'un Ziggy qui depuis quelque temps n'a plus rien sorti d'intéressant (en même temps que le glam se dégonflait); et l'on pourrait aussi ergoter sur les recherches d'un Iguane en perte d'intérêt depuis l'implosion interne des Stooges. Au final, on les retrouve donc à Berlin, entouré de coke et substances diverses, en complète perdition, et se consacrant, dans des moments d'ennuis, à la musique.
Le Thin White Duke se manifeste le premier, déjà avec le mirifique Station To Station il dessinait des contours proches du post-punk futur. C'est surtout avec sa trilogie berlinoise que l'histoire s'écrit ,Low tout d'abord (dont le titre Warszawa deviendra le premier nom des futurs Joy Division), puis Heroes et son titre éponyme culte, et Lodger vient clôturer cette trilogie. La trilogie berlinoise du Thin', marque par son désir et sa réalité dans l'expérimentation, et le renouvellement musical. En ceci il est très fortement aidé par la présence de Brian Eno (l'ex Roxy Music) qui a décidé d'arrêter quelques temps de faire des compilations pour aéroports, afin de venir rafraîchir le bon Ziggy (d'ailleurs, notons que sur Lodger, le titre Yassassin n'est jamais loin, d'un autre groupe cher à Eno, les Talking Heads). Et Iggy dans tout ça ? Il a son droit de comparaître ici, pour un seul fait, The Idiot. Aujourd'hui on retient plus facilement cette sorte de légende urbaine qui nous place la production de l'iguane comme le dernier disque écouté par Ian Curtis avant d'en finir. Ça fout les jetons quand même. Le contenu donne quoi ? Une production moite et dichotomique, sous des claviers perçants, avec parfois un piano repêché dans le caniveau qui se balance sous une rythmique gluante : Nightclubbing, we're nightclubbing.
Ne citer que les vieux croulants, très respectables, que sont Iggy et David (un peu les Starsky et Hutch musicaux, permettez moi cette digression qui me vient à l'esprit) occulterait quelques autres groupes qui ont fait tout autant, voire plus pour la mise en forme du mouvement. Il n'en faudrait pas oublier que certains autres avaient commencé le travail avant. Et ici il faut laisser la parole, ou plutôt le cris synthétique et enragé à Martin Rev et Alan Vega. Ni post-punk, ni punk à proprement parler, le premier album de Suicide reste encore aujourd'hui, un objet musical non identifié, où les coups de chaînes (de vélo, précisons-le) lancés par Alan Vega ont laissés stupeur et incompréhension. Dans le genre plus évident, les Talking Heads de David Byrne, détestés du courant punk New Yorkais pour leur côté arty pop, ont ouvert la voie à un métissage pop/ world music (oui ce terme n'a aucun sens et je le déteste, et le conspue tout autant que vous) qui trouve encore des échos aujourd'hui (qui a parlé des Vampire Weekend ? C'est bien vu, mais ne nous éloignons pas du sujet, surtout pour ça). Certains laisseraient place ici au Blondie de Debbie Harry, mais comme je n'ai jamais goûté au génial supposé de la blonde, je m'abstiendrai d'en dire quoique ce soit, tout en étant contradictoire au possible et vous disant que Blondie n'a jamais influencé que le top 50. D'autres sites la porteront aux nues. Pour continuer sur ces groupes proches du mouvement punk tout en s'y trouvant rejeter, laissons quelques lignes pour :
Alternative TV (directement issu de la Fanzine punk, Sniffin' Glue); Magazine (porté par Howard Devotto, ex chanteur des Buzzcocks); The Pop Group; The Slits (après mon poncif sur Blondie, je ne voudrai pas qu'on me prenne pour un sale phallocrate !); The Raincoats, Television (que je place avec des pincettes).

(Tiens d'ailleurs, petite coupure, si vous avez des groupes à proposer dans certaines parties je vous invite fortement à prendre votre clavier à deux mains et à tapoter avec force et conviction pour que je puisse les faire apparaitre ici).

Pour revenir sur Suicide, si leur influence n'est pas des plus évidente sur la branche "rock" du post-punk, elle trouve par contre tout son écho dans la branche electroïde du mouvement. Car les années 80 coïncident aussi avec l'envol effectif, n'étant plus le domaine réservé de quelques allemands, de la machine electro. La particularité allemande reste néanmoins un acteur majeur, et très à part, de la scène électro alors en marche. Cette particularité s'exprime principalement, par un amour, oui un amour !, démesuré pour les rythmiques martiales aux arrangements biscornus, et une continuité dans l'héritage Krautrock des 70's. Un héritage assumé, mais dont il est important de se détacher, en s'acoquinant avec un autre mouvement prépondérant à l'Allemagne, la musique Industrielle. En acteur majeur de ce mouvement, il m'est très difficile de ne pas citer les deux joyeux lurons de D.A.F. (aka : Deutsch-Amerikanische Freundschaft) et le tubesque Der Mussolini, mais pas que (on reparlera de l'influence qu'ont pu avoir ces quelques notes sur le mouvement synth-pop anglais, et des petits groupes tel Depeche Mode). Dans leur giron, l'on retrouve aussi Liaisons Dangereuses, Malaria, Die Tödliche Doris (dans une veine plus indus, et plus minimaliste), The Front, Dïe Krupps (je vous invite fortement à poser une oreille sur le très beau projet de compilation Berlin 61/89 : Wall Of Sound sorti sur le label le son du maquis). Ces différents groupes étant aujourd'hui considérés sous le joli terme d'EBM (pour Electronic body music).
Une fois n'est pas coutume, cette scène allemande, est aussi fortement influencée par les premières décharges electroïdes punk, lancées dès l'Angleterre par quelques doux représentants à l'image de The Normal (Daniel Miller qui pour soutenir ce single, décide de fonder un label, encore primordial aujourd'hui, Mute records), Cabaret Voltaire (influence revendiquée d'un certain label Warp lors de sa création), ou les Throbbing Gristle (dont les aventures bruitistes auront marquées plus d'un pequenot aux oreilles, jusqu'alors, vierges de souillure). Ensuite, un petit groupe d'anglais, qui connaissent rapidement le succès avec un "hit" dont il faut vite oublier le clip, car merde on dirait vraiment du Charlie Oleg, et ils ressemblent tous à des puceaux qui auraient mis une veste en cuire pour se la jouer gros dur. Donc Depeche Mode, ouais. Un groupe qui a du être ostracisé très vite par les puristes de la scène electro/indus, tant les premiers pas (et les suivants) du groupe sont gravés dans la pop. Car contrairement à un certains nombre de connards all over the world, qui pensent que le but noble d'un musicien et de complexifier la musique pour la rendre plus cérébrale, plus propice à la branlette intellectuelle de comptoir, les mec de Depeche Mode eux pensent qu'il faut au contraire tout faire pour que la musique tende vers une universalité pop, au risque d'être conspué par les gardiens du temple et chiens de garde en tous genres, il faut acoquiner la pop avec la scène electro/indus. Et la "pop" n'a jamais été un terme vulgaire, même s'il a été beaucoup critiqué par la base punk, et même post-punk, Martin Gore et Dave Gahan ne démordent pas. Et moi je dis que Depeche Mode est sûrement le groupe qui a le mieux compris tout l'intérêt de la pop music, les preuves en sont : 1, 2, 3, 4 (grave rien à branler qu'il soit un des plus connus des noobies, je soutiens ardemment le fait que ce morceau relève de l'orfèvrerie pop).
Dans un état d'esprit pas très éloigné, et en restant toujours chez les rosbeefs, Scritti Politti, New Order (c'est quand même devenu un putain de tube culte ce morceau, et pourtant je ne porte pas Bernard "charisme de moule" Sumner dans mon coeur), Wire (oui on a en a déjà parlé rapidement, oui ce morceau n'est pas très pop, mais oui il ont eu une grosse période electro/pop/indus, enfin dans la continuité de leur recherche musicale), The Stranglers (jamais réellement stable musicalement, No More Heroes et le seul album que l'on peut caser ici, par la suite ils tourneront dans d'autres sphères), The Human League (qu'on lynche un peu trop facilement, je trouve), etc.
Oh, et dans le reste de l'Europe, je m'auto-emasculerai si j'oubliais de mentionner les Belges de Front 242.

Je fais une nouvelle pause ici, en annonçant déjà que la fin n'est toujours pas à l'horizon, étant donné qu'il reste encore à parler des mouvements pop, néofolk, indus, expérimental/inclassable/casse burettes, no wave, et les descendances directes.
Joie et damnation, il reste encore un bon bout.


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C'est un c/c d'un topic que j'ai commencé sur un autre forum, un jour je le compléterai/terminerai. En tout cas, pour l'instant, je me suis dit que ça pouvait être sympa de balancer ça ici, pour les gens qui ça peut intéresser, et pour peut-être lancer une discussion intéressante, puis avoir des feedbacks et des contributions.
Faut vraiment que je finisse ce truc.
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Part time Post-punk Vide
MessageSujet: Re: Part time Post-punk   Part time Post-punk EmptyMer 1 Sep - 20:14

Merci Lou pour l'article .
je vois que hormis les classiques je connais pas trop ce mouvement.
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